De quoi être en colère et réagir quand on subit comme ce lecteur, les services à minima des hôpitaux marseillais, ou ailleurs.
Je note que dans les siècles passés on prenait soin du rafraichissement des patients. Ceux-ci doivent l'être davantage aujourd'hui...
Je rajouterai que la propreté n'est pas toujours au rdv et que toujours, la qualité des repas servis profite davantage aux poubelles qu'à compenser la solitude et la détresse par un minimum de saveur et de qualité nutritionnelle (A la différence de la diététique conventionnelle la bionutrition ne se contentera pas d'huile ou de pâtes blanches comme sources d'acide gras essentiels et sucre lents mais proposera huile d'olive et pain ou riz complet, demandera aux "chefs" de cuire les légumes al dente , en tous cas, autrement qu'en bouillie et d'acheter des fruits et légumes de saison (arrêtez avec les tomates en plein hiver ou les fruits archi durs!). On voit encore trop souvent des saucisses en guise d'apport protéiné...ce ne sont que des exemples parmi toute une série de changements possibles et souhaités...).
En ce qui concerne l'eau, je ne suis pas sure qu'on veille à remplir la bouteille (après l'avoir rincée) de la personne qui ne peut se déplacer...
Ne pas hésiter à signifier son mécontentement en cours et à la fin du séjour: des imprimés sont à la disposition des patients;arrivent-t-ils toujours à bon port?...En cours de séjour, le moindre incident signalé à un membre du personnel doit donner lieu à une "fiche d'évènement indésirable"; ces fiches permettent d'évaluer et donnent souvent lieu à des propositions ou de nouvelles procédures pour changer ce qu ne va pas.
Le texte qui suit n'engage que son auteur...je transmets
"Mon avis sur les hopitaux Privés de la ville de Marseille, j’ai eu malheureusement, le privilège de suivre une parente, dans 2 hopitaux privés
de la ville de Marseille, dont je terrai le nom, pendant 3 semaines de
grosse chaleur, voilà ma constatation du XXIeme siècle, me croyant entre le
19e siècle et le XXeme: alors que les maisons de retraites publiques ou privées (tant mieux) doivent se plier à certaines obligations pour le bien être
de nos chères personnes âgées, mème certaines obligations d’hygiène pour les centres de réeducation de Marseille, ex. Centre Réeducation Rosemond
Av des Goumiers, ou les patients possèdent de petits frigos dans leur chambres, leur permettant de réfrigérer leur boissons, également, petit garde manger pour denrées périssables, et bien les hopitaux privés de Marseille n’ont aucune obligation; je vais en citer quelques unes, il y en a aux conséquences dangereuses.
Je vais commencer par la moindre: placards vétustes, pas de serrure, lit trés dur, alaise et housse en plastique insupportables, la transpiration ammène de nombreux problèmes d’irritations de la peau, et là ou le bât blesse, alors que l’on vous rabache à la télé, "buvez, buvez, manger 5 fruits par jour", il n’y a aucun distributeur de boissons dans les étages.
Si la personne âgée ou impotante, veut boire un coca, comment fait-elle? ...Et si elle se contente d’eau plate, elle est chaude, si elle veut garder ses 5 fruits au frais, pas de petit frigo dans une chambre à deux !!! les concessionnaires de buvette ou de fast food de l’hôpital n’ont aucune contrainte ni de cahier des charges... ces concessionnaires ne sont même pas obligés de distribuer des journaux dans les chambres, lit “qui peut”. ceci n’est qu’un détail.
Nous voila ramenés au 19eme siècle, dans un hôpital privé de Marseille. Savez-vous, que l’on distribuait de la glace aux malades dans les chambres?Cet hopital reçevait des pains de glace, qui étaient découpés, et ensuite répartis dans les chambres, et au cours de mon enquête, je peux vous dire, que cette glace venait d’une entreprise de St Antoine Aygalades.
Que pensez vous de cette situation , ne devons nous pas réagir? "
F.P.
sources: coordination nationale infirmère, retrophoto, aliexpress
Cardamome