La première fois que j'ai gouté ces bonbons chocolatés au gingembre, c'était dans mon magasin bio, au prix de 25€/kg!; Délicieux mais le prix l'est moins!
Comme tout....j'ai décidé d'en faire moi même. Bien sûr, c'est un peu long mais, tout en les enduisant de couverture au chocolat, le cerveau prend de l'avance et le temps de bien se régaler .
• En revanche, j'ai acheté les cubes de gingembre confits (8€/kg), ayant soin de bien les secouer afin d'éliminer le maximum de sucre qui y était collé.
• J'ai utilisé du chocolat noir 75% qu'il suffit de doucement faire fondre (micro onde pour moi)
• Trois piques en bois (genre grand cure dent ou brochettes seront nécessaires.
• Une première pour piquer un cube de gingembre et le tremper dans le chocolat fondu. On coince l'autre bout sous le téléphone ou un plat carré. Le chocolat en excédent va s'égoutter dans le bol contenant le chocolat fondu.
• Une deuxième....idem
• On reprend la première et avec une troisième on s'aide pour enlever la pique et débarrasser le bonbon sur un papier cuisson afin de le laisser sécher.
• Quand les bonbons sont bien secs les décoller et les ranger dans une boite!
J'ai eu envie de tenter le fromage blanc au lait de chèvre, étant donné que la texture est déjà très différente entre vache et brebis; j'avais envie de savoir quelle différence il y avait entre celui au lait de chèvre et celui au lait de brebis.
Il y en a surement parmi vous qui se sont posé la question mais n'ont pas tenté...voilà chose faite!
Je n'ai pas pu trouver de lait entier de chèvre alors je me suis contentée du lait demi écrémé. Cela ne me gênait pas - a priori - car le lait de brebis que j'utilise est demi écrémé également (je n'en trouve pas entier).
A priori...car on sait que faire du yaourt/fromage blanc avec du lait entier de vache donne de bien meilleurs résultats qu'avec du lait demi écrémé.
Au niveau des compositions c'est très différent;
• le lait de chèvre et beaucoup moins gras et beaucoup moins protéiné. Mais, même les laits de brebisdemi écrémé sont différents selon les producteurs....Celui que je prends est très riche et on sait que ce sont de bonnes matières grasses (Le Petit Basque 1/2 écrémé: MG 3g, Protéines 6g,1).
• Pour le lait de chèvre 1/2 écrémé (Lactel) la composition est différente et moins riche: MG 1.5, Protéines 3.3g)
Pour les glucides c'est quasiment identique (autour de 4.5g).
Pour une onctuosité et une texture identiques:
• Avec le lait de vache entier (bio) , j'obtiens entre 500 et 550 g de fromage blanc
• Avec le lait demi écrémé de brebis (Petit Basque), j'obtiens entre 730 et 750 g de fromage blanc
• Avec le lait demi écrémé de chèvre , je n'ai obtenu que 330 g de fromage blanc. C'est donc nettement moins intéressant.
J'avais peur d'avoir un goût de... chèvre, eh bien non, pas du tout; fromage blanc très doux et agréable en bouche. Mais ça reste peu rentable!
dans un pot de 500g, j'obtiens 330 g de fromage blanc au lait de chèvre
Calories
• Calories , environ 85 cal/100g (fromage blanc au lait de chèvre demi écrémé)
• Calories , environ 82 cal/100g (fromage blanc au lait de brebis demi écrémé Petit Basque)
• Calories , environ 95 cal/100g (fromage blanc au lait de vache entier)
Il faut savoir que le petit lait obtenu contient environ 13.5% de protéines et qu'il est excellent pour notre santé car c'est un produit riches en bonnes bactéries. Je l'utilise pour refaire du fromage blanc, pour faire mon pain ou un gâteau ou dans une soupe (en dernier pour la refroidir un peu avant consommation)
Des invités m'ont apporté de la confiture d'abricot que j'ai dégustée dès le lendemain, laissant le pot hors frigo car je déteste la confiture froide et en mange peu et peu souvent.
Lorsque je l'ai rouvert quelques jours après, un nuage s'en est évaporé; cela a confirmé ce que je pensais lors de la première ouverture: confiture trop liquide manquant de consistance. Cette confiture commençait à moisir.
Aucun gros risque car , même en cas d'ingestion cela peut tout au plus provoquer un embarras intestinal ou une allergie, en tous cas, être désagréable au goût.....mais quand même.... (moisissure "aspergillus glaucus")!
"Lors de la préparation de la confiture, il est crucial de maintenir des normes d'hygiène élevées. Tout contact avec des mains non propres, des ustensiles non stérilisés ou des surfaces contaminées peut introduire des spores de moisissures dans la confiture, favorisant ainsi leur croissance ultérieure." (clic)
• Des fruits trop aqueux ou manquant de pectine, c'est la première raison d'une confiture qui moisit. C'est le cas de l'abricot, la cerise et d'autres.
• La deuxième raison, c'est la cuisson insuffisante.
Celle-ci doit voir monter la température entre 103° et 105° (plutôt 105°).
La température va monter d'autant plus vite que le taux de sucre est correct et le fruit déjà précuit avant, par macération dans celui-ci.
On peut évidemment stériliser la confiture mais après ouverture on est rendu au même risque de moisissure, d'autant qu'on a souvent tendance à replonger la cuillère....
Avec la bonne quantité de sucre ("tant pour tant") on obtient une température de 103/105° relativement rapidement.
Dans le cas contraire, il faudra concentrer le sucre davantage par cuisson et le résultat en sucre/poids sera quasiment identique à la méthode "tant pour tant".
J'aurais du prendre une photo "avant"....la confiture s'étalait dans l'assiette, comme une marmelade mais certes pas comme une vraie confiture
• Personnellement, je fais comme ma grand mère: 1kg de sucre pour 1 kg de fruit, et un jus de citron. Quelquefois, un filet fait avec une compresse, avec des trognons de pomme, pour la pectine).
Un peu moins de sucre si ce sont des fruits très sucrés (marron, patate douce, figue...).
• Macération dans le sucre jusqu'à ce que les fruits soient "cuits" puis deux ébullitions intercalées par un repos d'une nuit à couvert. Le lendemain on jette l'eau du couvercle et on cuit à 103/105° en remuant sans cesse et à petit feu.
• On ébouillante les bocaux et on verse la confiture dedans. On ferme et on retourne le pot.
• Pour cette confiture d'abricot, trop liquide et commençant à développer des moisissures, je l'ai recuite.
• Au début la température à ébullition était de 60°. J'ai cuit jusqu'à 103° puis j'ai remis dans le pot et je l'ai retourné.
• Il n'en reste plus que la moitié (je n'en avais mangé que deux cuillères à café.)
Alors si j'ai un conseil à donner c'est de faire de la confiture si c'est le but, et non de la marmelade ou de la compote! (moins concentrées en sucre mais avec agar et à garder strictement au frigo et manger rapidement).
Vous me direz, fromage blanc de brebis et fromage blanc de vache ou de chèvre, c'est pareil!
Eh bien non!
En effet, la quantité de petit lait évacuée est moindre et au litre, on obtient donc davantage de fromage blanc.
Ci dessous je vous explique certaines choses qui vous faciliteront la tâche bien que ce ne soit pas compliqué du tout, dès lors qu'on sait faire du fromage blanc de vache (explications sur ce lien)
J'utilise le lait du commerce car je n'ai pas réussi à en trouver direct éleveur de brebis (pas rentable pour eux et pas facile à conserver longtemps sans upérisation, ils préfèrent en faire du fromage.
au fond du pot, à droite, un petit ustensile pou éviter que le fromage blanc trempe dans le petit lait si je n'ai pas le temps de le vider dans le flacon.
la passoire (à gauche) pèse 147 g; je pèserai donc le tout à 847/880 g (plutôt)
pot avec passoire et couvercle
flacon de 250 g de petit lait.
premier pot , de 500 g
un pot de 500 g et une petite barquette pour le reste
Du dernier fromage blanc de vache, il vous est resté du petit lait (ou babeurre)
La procédure est la même.
45/50 g de petit lait (conservé au frigo) et 2 càs de jus de citron
1 litre de lait de brebis que je n'ai trouvé qu'en demi écrémé mais ça va très bien
• Je verse le tout dans le pot de ma yaourtière que j'ai ébouillantée au préalable, ainsi que la cuillère qui va servir au mélange.
Si on prend des précautions de propreté on peut garder le fromage blanc dans le frigo facilement trois semaines.
• Brancher la yaourtière pour environ 10 heures.
En l'absence de yaourtière chauffer le lait à 35° et faire le mélange puis bien couvrir l'ensemble avec une couverture doublée
• Le lendemain , je vérifie si le lait a bien caillé et là, je le passe.
• J'utilise un pot qui normalement sert à cuire du riz ou autre au micro onde et qui contient une passoire. Je les ébouillante.
• Je mets une petite pièce sous la passoire (un petit moule à biscuit) afin que le fromage blanc ne trempe pas dans le petit lait; mais une fois que j'ai vidé une partie dans un flacon (propre) le risque est moins grand car le fromage blanc de brebis rend moins de petit lait que celui de vache. En gros, si vous ne voulez pas peser, la quantité de petit lait sera d'environ 250g.
• Je mets une compresse stérile (en non tissé) au fond de la passoire (elle remonte sur les bords).
• Je verse le fromage caillé dessus, délicatement et je couvre afin d'éviter la poussière ambiante. le fromage commence à passer.
• De temps en temps je vérifie et pèse (attention au poids de la passoire et de la pièce intermédiaire = tare). Sans peser, ça va aussi, en voyant l'aspect mais je préfère peser et avoir toujours un résultat régulier.
Pour le poids c'est comme vous voulez mais j'en suis arrivée, en fonction de la consistance désirée à avoir entre 700 et 730 g de fromage blanc de brebis (vache = 500/550) et 250/280 g de petit lait.
• Quand on a ces 250g de petit lait on peut considérer que la texture est bonne (on peut faire moins ou plus mais là, on a une texture genre crème épaisse).
• Je prépare un contenant, deux en fait (un pot de 500 g ayant contenu de la crème et une barquette plus petite genre mascarpone pour mettre le reste.
Il convient de les ébouillanter pour assurer un maximum de précautions et une conservation excellente.
• J'ébouillante une spatule et je verse le fromage dans ces pots en n'en perdant pas une miette!
• Je place le fromage blanc au frigo (mes deux pots ou un seul, si vous en avez un plus grand).
Dans une heure ou deux la consistance sera idéale!
• Gardez le petit lait dans son flacon , au frigo pour une prochaine utilisation et si vous en avez trop, utilisez le dans la soupe, le pain ou les gâteaux, c'est très riche en protéines.
Vous allez vous régaler en obtenant un fromage blanc (730 g) pour le prix d'un litre de lait soit 3.35 € (juillet 24)
• Verser la crème fraîche liquide, dans un cul-de-poule et garder au frigo1h (je l'ai fait la veille pour le lendemain)
• Dans un cul-de-poule, blanchir les jaunes d’œuf et le sucre.
• Incorporer l’extrait de café, la liqueur et le café soluble.Bien mélanger l’ensemble.
• Fouetter la crème fraîche froide au batteur électrique à vitesse moyenne, jusqu’à ce que la préparation soit ferme.
• L’incorporer délicatement en plusieurs fois, à la préparation précédente à l’aide d’une maryse.
• La transvaser dans les empreintes du moule.Bien lisser la surface.
(Pour un moule à cake standard, recouvrir l’intérieur de papier sulfurisé ou de film alimentaire).
• Réserver toute la nuit au congélateur.
Sauce Au Chocolat pour 8 parfaits (et un peu plus):
40g De Chocolat Noir 75%.
76 g D’Eau.
27 g De Crème Fraîche Liquide Entière (30/35%).
13 g De Lait Entier.
17 g De Sucre En Poudre
2 càc d’amaretto (Facultatif ).
• Hacher grossièrement le chocolat.
• Le verser dans une casserole, avec l’eau, la crème ainsi que le lait et le sucre.Faire chauffer sur feu moyen.Mélanger, à l’aide d’une cuillère en bois.
• Une fois, que le chocolat est bien fondu, monter le feu.Il faut obtenir de petits bouillons.
Compter environ 10min.La sauce va s’épaissir, au fur et à mesure.
Vous aurez une texture qui se rapproche d‘une Crème Anglaise.
• La verser dans un bol ou autre et incorporer la liqueur de café (facultatif).
• Filmer au contact pour éviter la formation d’une peau.
• Réserver au réfrigérateur.Elle va s’épaissir, en refroidissant.
Le lendemain…
• Si vous en avez besoin, faire chauffer la sauce au chocolat quelques secondes au micro onde, pour la rendre plus fluide.
• Démouler les parfaits, les disposer sur chaque assiette et les recouvrir de sauce au chocolat (éventuellement de grains de café au chocolat). J'ai mis 2 càc de sauce sur chaque parfait.
Sa chair gélatineuse et ses graines évoquent un peu le fruit de la passion.
Le kiwano est une vraie curiosité. Avec sa peau hérissée de piquants façon dino, on le croirait sorti tout droit de la Préhistoire. Sous cette carapace de dur à cuire, ce fruit dissimule pourtant une chair étonnamment colorée, pleine de graines et légèrement gluante. Son goût est aqueux et léger, un peu comme le concombre - il s'agit bien d'une cucurbitacée. Quand il est parfaitement mûr, certains y décèlent des notes de banane et de melon mêlées.
on peut aussi le cultiver en France, par exemple en Bretagne, du moment qu'il est planté sur une parcelle très ensoleillée car il a besoin de chaleur.
Attention, dans la nature, là où il pousse spontanément, il contient des traces de cucurbitacine, un neurotoxique qui le rend amer et peut provoquer des vomissements ou de fortes diarrhées. Mais les kiwanos de culture, que nous trouvons sur les marchés, sont dépourvus de ce poison et ne sont ni toxiques ni amers.
J'ai gardé quelques graines et ne serait ce que pour les bienfaits qu'ils peuvent apporter par exemple à des poules en diarrhée (mon voisin qui me les a donnés a traité ses poules malades avec succès), je vais essayer dans planter au printemps prochain
Je fais régulièrement mon fromage blanc au lait de vache mais cette fois, j'ai voulu essayer le fromage blanc au lait de brebis. Sur la photo, il est plutôt jaune mais la photo a été prise de nuit; en fait il est bien blanc!
Ici avec de la confiture de mures
Je n'ai pas pris de lait bio pour la première fois, ayant peur de rater mon essai.
J'en ai parlé au chevrier du marché qui m'a confirmé que je pouvais utiliser le petit lait que j'avais, à savoir du petit lait de vache pour ensemencer du lait de brebis.
Jai donc utilisé la même méthode (voir ICI) j'ai juste mis trois càs de citron au lieu de deux (comme il est dit sur Rustica) et 50 gr de petit lait).
Très vite, au moment de passer le caillé (passoire et compresse en non tissé), je me suis rendu compte qu'il passait plus lentement et rendait moins de petit lait.
J'ai tout de même insisté mais à un moment, j'ai vu que la masse était assez ferme et j'ai stoppé et mis en pot (ébouillanté comme d'habitude).
J'avais alors 635 gr exactement de fromage blanc. j'aurai pu arrêter à 700 gr mais le pot n'aurait pas suffit à tout contenir....Pour le lait de vache c'est plus rapide et je stoppe à 500/550 g)
C'est une merveille en onctuosité et en goût qui je le précise n'est pas fort.
Mon essai est réussi et au delà de mon espérance!
Quelques petits calculs:
Prix d'achat du lait de brebis demi écrémé, 3.32€/L
Prix pour un pot de 400 gr de fromage blanc , 2.09€ (les pots chez CFR sont à 2.22€). Peu de différence mais c'est fait maison!.
Calories du lait 68/100 gr, soit 680/L
Rendu, 635 gr
Si j'enlève le poids du citron j'ai donc 395 gr de petit lait soit 106 calories
Calories totales 574 cal donc 90 cal/ 100 gr
Ma conclusion à titre personnel:
J'ai encore quelques bouteilles de lait bio entier de vache . Je vais les utiliser pour faire du fromage blanc car je n'en ai pas d'autre utilité sauf si je dois utiliser une bouteille entière pour une crème anglaise ou autre béchamel ou crêpes. Ouverte, c'est risqué de la garder plus de quelques jours. pour des petites quantités (pâtisseries), je reconstitue du lait en poudre entier.
Je pense ensuite passer au fromage blanc de brebis mais moins souvent, étant donné que c'est plus cher mais...qu'est ce que c'est bon!
Ayant fait une belle récolte de figues sur des arbres connus de certains ici...😂,
Outre des fruits déshydratés j'ai pu aussi faire environ 2 k 5 de confiture.
Je n'en avais pas faits depuis longtemps, préférant manger des fruits frais mais là, les figues ne tenant pas le coup longtemps , j'ai du passer à l'action!
MA méthode, je vous la rappelle volontiers:
Prévoir :
Pour 1 kg de figues (coupées si elles sont un peu grosses)
600 gr de sucre
1 càs de jus de citron
Vanille (pas mis cette fois-ci)
• Trempage une nuit environ avec le sucre (j'ai mis 60% de sucre, les figues étant déjà assez sucrées) et du jus de citron. Le sucre pénètre dans le fruit et commence à le "cuire".
• Le lendemain, j'amène à petit feu, à ébullition pendant 5 mn environ.
• Couvercle et RDV au lendemain.
• Le troisième jour, soulever le couvercle et l'égoutter.
• Refaire une ébullition à petit feu et attendre "le gros boulé" (grosses bulles) ou, entre 102° et 104° maximum, en veillant à mélanger de temps en temp en raclant toujours le fond de la marmite.
• Ebouillanter les pots et couvercles
• Y verser la confiture, essuyer le pourtour, fermer et retourner les pots jusqu'au complet refroidissement
Je suis bien persuadée que bon nombre de ceux qui me lisent ont déjà fait de la confiture...de la confiture de mûres (voici celle des mures d' arbres) et peut être même de la confiture de sureau.
Ce sont deux de mes confitures préférées et Dieu sait si j'en mange très peu (trop sucré pour moi).
Ci-dessus les pots de sureau refroidis et les pots de mures en train de refroidir.
Vous verrez dans les liens, en détail comment je procède; je vais juste rappeler ici l'essentiel et vous montrer ma dernière fournée!
J'ai fait cette fois ci 4kg100 de sureau et 1kg200 de mures sauvages (poids en confiture), pour 2kg 250 de sureau et 600 gr de mûres en cueillette nette.
C'et assez long d'égrainer le sureau (on ne garde que les fruits noirs)....et assez difficile de bien repérer les arbres à sureau qui disparaissent en août (cueillette) car les fleurs blanches se sont transformées en billes noires. (penser au mois de mai à en faire de la limonade de sureau ("champagne" de sureau) dont j'avais même fait un pain au levain de sureau.
Pour la plupart j'en donnerai, n'en goutant qu'épisodiquement car on y passerait volontiers la journée à ce genre de dégustation!
• Trempage des fruits avec le sucre (autant que de fruit) et un jus de citron.
• Mélanger de temps en temps et laisser macérer entre 12 et 20 heures pour que le sucre pénètre entièrement le fruit.
• Amener à ébullition , une minute puis couvrir et laisser ainsi 12 heures.
• Egoutter le couvercle et ramener à petite ébullition.
• Attendre que ça fasse le "gros boulé" (104°) et mettre en pots ébouillantés.
• Retourner les pots et attendre le refroidissement pour les ranger
Cette année est une année à prunes , je pense que ceux qui ont des arbres à proximité s'en sont rendu compte. Partout où des arbres poussent ils suffit de se baisser et même la dame du coin pas loin me dit "secouez l'arbre" (le sien)!
Bref j'en mange mais j'en ai à revendre aussi, je me suis décidée à en mettre au déshydrateur pour en conserver un peu.
• Il a fallu les laver, les couper en deux, enlever le noyau, les disposer sur les grilles, espacées
• Je les ai laissées en tout 30 heures environ à 50°, en plusieurs temps car je regardais comment elles se comportaient.
• Pour finir, hier et aujourd'hui je les ai laissées au soleil pour finir de les sécher.
J'ai donc ma petite réserve de fruits secs type "pruneaux" et croyez moi c'est bien agréable pour un encas, un apéritif ou un grignotage.
...Et ce n'est pas fini!
Mon prunier va bientôt voir ses prunes murir, je pense d'ici une dizaine de jours!
Il m'en a données il y a deux ans et je sais qu'elle sont délicieuses; celles là je pense les manger et j'espère arriver à étaler la cueillette! Testées ce matin (palpées) , pas mures du tout!
Il reste encore des prunes de la dame.... année à prunes!
Chose rare, je n'ai pas fait moi même la glace, j'aurais volontiers fait une glace vanille que je réussi à merveille mais j'avais celle-ci en réserve.
Je l'avais achetée , Adelie citron meringué, après l'avoir goûtée chez une cousine et vraiment c'est une réussite, pas trop sucrée et pas trop forte non plus en citron.
Il me restait à imaginer comment je pourrais en faire un joli dessert pour mes convives, trouver un décor et un ingrédient de "mache".
J'ai alors pensé aux mures géantes du jardin auxquelles j'associerais des petites barres de brownie (j'en ai fait un récemment pour une amie venue déjeuner).
J'ai cherché une sauce au chocolat dans mes grimoires mais j'ai finalement trouvé une sauce au chocolat à l'eau(blog un dejeunerdesoleil...oui, à l'eau, qui m'a donné entièrement satisfaction tant par la facilité à la faire que par la simplicité des ingrédients. Je n'utiliserai plus que cette recette pour ce genre de préparation.
D'abord, faire la sauce au chocolat, afin qu'elle ait le temps de bien refroidir.
Je l'ai faite la veille au soir
• Préparer 50 gr de chocolat noir entre 60 et 85%
• Dans une casserole, mettre 100 gr d'eau et 40 gr de sucre.
• Chauffer tout en remuant, jusqu'à fonte totale du sucre et même légèrement plus
• Ajouter le chocolat tout en continuant à remuer vivement avec un fouet manuel. Ne pas cesser de fouetter et chauffer à feu doux pendant au moins 5 minutes (à deux ou trois reprises j'ai augmenté le feu quelques secondes)
• Quand le chocolat nappe bien la cuillère, stopper. Là je me suis amusée à peser, je n'avais plus que 126 gr (au lieu de 190 gr).
• Verser dans un pot avec bec verseur et laisser complètement refroidir. La sauce va encore un peu épaissir mais va rester liquide et "versable".
Après avoir préparé mes coupes il en restait deux petites cuillères ...miam!
Préparer la glace et les autres ingrédients
• La veille, j'ai fait 12 boules avec la cuillère à glace et je les ai conservées au congélateur
• Je suis allée cueillir mes mures (acheter ou mures sauvages ou autre fruit rouge)
• Juste avant de garnir les coupes, j'ai coupé des petits batônnets de brownie (2 cm/3cm), 4 par personne.
• Mettre un morceau de gâteau au fond de la coupe puis trois boules de glace.
• Ajouter trois autres morceaux de brownie
• Répartir quelques mures dans les espaces
• Enfin, verser la sauce au chocolat sur l'ensemble mais ne pas tout recouvrir afin qu'on voit de quoi il s'agit.
• Je voulais ajouter des amandes effilées toastées...j'ai oublié
Tout près de chez moi il y a un très grand terrain de jeu. il est bordé d'arbres dont quelques cerisiers sauvages.
Ce sont de toutes petites cerises dont j'ai repéré trois variétés, trois goûts différents. des douces, des amères, et entre les deux.
On ne peut pas vraiment dire que ce sont des griottes car elles sont vraiment minuscules.
J'en ai cueillies...je ne saurais dire mais environ 300 gr....j'ai oublié de noter le poids.
Ces cerises pourront être dégustées nature, ou en gâteau (forêt noire, millefeuille, ou décor de gâteau ou de tarte.
Le travail est un peu long mais vu la rareté et surtout l'inexistence dans le commerce, ça vaut le coup. Avec le gingembre confit dans son sirop, c'est le deuxième produit inexistant que je fais, consciente que d'autres doivent en faire aussi!
Le sirop avec un reste d'écume
Les cerises dénoyautées
Ingrédients
Autant de sucre que de poids de cerises
1/2 jus de citron pour 3 à 500 gr
• Laver les cerises puis les équeuter
• Les faire macérer une nuit et un jour dans le sucre et le jus de citron, filmé au dessus de la casserole. Remuer de temps en temps.
• Quand la préparation se liquéfie bien, c'est le signe que le sucre à pénétré complètement dans le fruit.
• Donner une première ébullition de deux ou trois minutes. Refilmer et laisse reposer 12 heures.
• Le lendemain, amener à ébullition et stopper le feu pour laisser refroidir.
• Passer les cerises. Une à une, dénoyauter les cerises.....les réserver avec le sirop dans un bol et mettre les noyaux dans la casserole.
• Ajouter un fond d'eau aux noyaux, mélanger et amener à ébullition pour réduire ce fond de sirop, ceci afin d'extraire le maximum de goût des noyaux. reverser ce petit fond avec le reste.
• Amener cerises et sirop à petite ébullition gros boulé, 104° de température.
• Remplir des pots ébouillantés à l'aide d'une cuillère, afin de bien répartir le cerises, fermer et retourner le pots jusqu'à complet refroidissement.
La dernière fois que j'ai fait cette gelée de pissenlit qu'on appelle aussi "miel" de pissenlit ou encore cramaillotte d'origine francomtoise, c'était il y a trop longtemps et cette année, mon jardin étant rempli de toutes ces belles fleurs jaunes je me suis dit que je devais en garder un doux souvenir.
Cette cramaillotte est un régal avec le fromage blanc. Ne pas en abuser, c'est quand même du sucre!
400 fleurs de pissenlit (pas pesé)
1100 g de sucre (pour mon poids de jus de 1400 g)
Compter 400 g de sucre/1/2 litre de jus
1 citron
1 trognon et les épluchures d'une pomme bio (enfermés dans une gaze)
1 1/2 litre d'eau (pour cette quantité de fleurs)
• Cueillir les fleurs de pissenlit, juste la fleur sans la tige
• Laver les fleurs et les essorer (essoreuse à salade). Les laisser sécher au soleil pendant 1h
C’est mieux de ne garder que les fleurs (le jaune) : J'ai suivi la consigne d'enlever le vert au bas de la fleur, même si la dernière fois cela n'avait provoqué aucune amertume de le laisser. Etant donné ce long travail fastidieux je referai selon la première recette.
• Cuire à tous petits bouillons dans 1 litre 500 d’eau, les fleurs, le citron coupé en rondelles , pendant 40 minutes. Laisser infuser toute la nuit, puis filtrer et presser entre les mains pour obtenir le maximum de jus.
• Cuire le jus comme une confiture avec le sucre (400 g de sucre/1/2 litre de jus) et la gaze de pomme, jusqu’à 104°.
• Verser en pots ébouillantés comme pour une confiture et retourner les pots jusqu'à complet refroidissement.
Pour réaliser ces flans aux œufs, je me suis inspirée de la recette trouvée sur ce blog(fort intéressant mais difficile d'y naviguer du fait des pub intempestives).
Je publie de nouveau cette recette qui permet de "manger" du lait et de finir son repas par un dessert à prix tout à fait convenable, bien meilleur et moins cher que ce qui nous est proposé en circuit industriel.
J'ai fait des petites modifications (le sucre et le mode de cuisson à la vapeur douce).
Mais là, j'ai souhaité utiliser mon Vitaliseur mais vous pourrez aussi bien utiliser votre couscoussier.
NB: Chaque pot revient à 0.22€ (avec lait entier et œufs bio en octobre 18) (Maj du 10/03/23, 0.30 €)
Je n'en fait pas souvent car personnellement, je ne mange jamais de flans et de tout ce qui tremble mais à la maison j'ai mon goûteur...il a beaucoup aimé!
Je vous ai souvent cité le gingembre en ingrédients au long de mes articles de cuisine ou de pâtisserie. Je vais ai même renvoyés vers ce lien (pomme et gingembre confit) mais en fait, je n'avais jamais vraiment consacré un article entier à cette recette, pourtant expliquée sommairement dans ce lien.
J'adore le gingembre aussi bien frais, lors d'un curry que confit.
Le gingembre confit du commerce se présentant sous forme de bonbon (en magasin diet le plus souvent) ne me satisfait pas plus que ça. C'est pourquoi, depuis plusieurs années, je le fais moi même; cette préparation sert aussi bien au sucré qu'au salé (toujours une légère saveur douce dans les curries!).
Je viens de refaire ma réserve et des photos pour vous en montrer les étapes en détail.
Pour les quantités je cite les quantités avec lesquelles j'ai fait le confit, à vous de faire le prorata.
Mon conseil: ne pas chercher à diminuer le sucre car de toute façon, il faut arriver à cuire suffisament pour parvenir au point de confisage soit environ 102/104° maxi. donc éliminer de l'eau en plus et le résultat est le même. (si l'eau est plus importante que le sucre, il faudra cuire davantgae pour concentrer davantage le sucre)
le sucre a fondu mais il lui faut pénétrer et "cuire" le gingembre toute la nuit
Juste avant la cuisson (il était jaune, la couleur pâle est due à l'aclairage)
800 g de gingembre net d'épluchures et taillé en fins bâtonnets. (j'ai une mandoline qui fait ce travail)
15% d'eau soit, 120 g
920 g de sucre
Mélanger le tout et laisser macérer ainsi toute une nuit en remuant de temps en temps avant d'aller au lit.
Le lendemain, ajouter un filet de citron etcuire à petit feu la préparation en remuant de temps en temps, jusqu'à arriver à un sirop relativement épais (environ 100°)
Couvrir et, égoutter le couvercle dans l'évier de temps en temps.
Cette recette de crème renversée me vient du blog ”une petite faim”. Voilà un dessert qui va me permettre d’écouler quelques œufs!
Quand je dis délicieuse... en fait, c’est zhomme qui l’apprécie car je déteste tout ce qui tremble...mais c’est la première fois que j’ai accepté d’y goûter. C'est vrai que c'est bon!!
Pour la faire il suffit de 4 ingrédients plus de la vanille. Si celle ci est en gousse, on choisira de la laisser infuser dans le lait chaud puis de la retirer, si c’est de l’extrait il vaut mieux l’ajouter aux œufs à blanchir avec le sucre 9 le parfum se développe mieux dans la matière grasse).
La cuisson se fait au four dans un bain Marie et la durée dépend de la grandeur de votre moule. Pour le mien , c’était 65 mn à 150°.
J’ai utilisé un moule à cake tefal pas très grand, de 24/9 (mesures prises sur le haut du moule qui est trapézoïdal) volume environ 700 ml à un bon cm du bord. On peut prendre aussi un autre type de moule ou des individuels.
Pour un moule un plus grand, il vous suffit d’aller voir les quantités sur le blog d’Isabelle ou de faire comme moi, recalculer au prorata du volume.
• Préparer un caramel à sec dans une casserole non adherante, avec 80 g de sucre. Ne pas remuer avec une cuillère, seulement en tournant un peu la casserole. Des que le caramel est formé, blond caramel (!), stoppez la cuisson et verser dans le moule.
• Chauffer550 g (520 ml) de lait avec la gousse de vanille ouverte et grattée, si la vanille est en gousse. Laisser tiédir .
• Blanchir170 g d’oeuf + 27 g de jaunes avec 125 g de sucre et 1/2 càc d’extrait de vanille en poudre ou en sirop (si pas fait avec le lait).
• Préparer l’eau chaude pour le bain Marie. J’ai pris un petit plat à gratin et mis mon moule en diagonale, c’était parfait.
• Ajjouter en plusieurs fois le lait dans les œufs blanchis, en mélangeant.
• Verser la crème à travers une passoire, dans le moule.
• Cuire au four pendant environ 1 heure . La surface doit être tremblotante.
Laisser tiédir puis garder au frigo au moins une heure.
Pour servir, soit à la pelle, soit renversé sur un plat de service!
Je vous propose cette confiture de clémentines dans laquelle on a des morceaux entiers. Ainsi ces pots pourront être utilisés éventuellement pour des décors en pâtisserie ou pour aromatiser un pain d'épices, un cake...
Si vous préférez le côté confiture vous la laisserez un tout petit peu moins chauffer (103°, au lieu de 105° comme je l'ai fait) et vous couperez les fruits plus finement.
Faire un sirop avec 700 g de sucre 100 g d eau et une gousse de vanille (grattée et coupée) en amenant le sucre à petite ébullition jusqu’à ce qu'il soit fondu.
Y plonger les morceaux de clémentines (1 kg net des deux bout coupés) et un jus de citron et cuire pendant environ 30 mn ; tout dépend...personnellement, je vérifie la cuisson avec le thermomètre.
Quand les 102...103...104° ou 105° maxi est atteint (selon le résultat qu'on veut obtenir) la confiture est prête.
Remplir les pots ébouillantés; les fermer et les retourner jusqu'à complet refroidissement.
J'ai rempli des mini pots à offrir le soir du Réveillon.
Il existe plusieurs variété de ce fromage de brebis nommé "féta". D'abord il faut bien vérifier que le fromage est bien fait avec du lait de brebis et qu'il s'appelle bien "féta"...
Personnellement, je ne l'aime pas trop comme il est vendu. a ce stade, il est bien pour mettre en cubes dans une salade mais pas pour le déguster.
Je l'aime lorsqu'il est coulant comme sur la photo, ce qui n'est jamais le cas.
Alors vous, amateurs de fromage dégoulinant, vous allez savoir comment je fais pour obtenir ce résultat.
De plus, il est souvent trop salé (pour moi). Aussi je veille à toujours prendre celui qui contient le moins de sel. Celui de la marque distributeur "Repère" me convient bien (1.60€).
Je dispose d'un frigo "pro" que je mets en 10° pour y conserver mes graines céréales, fruits, légumes, fromages et certains vins...mais vous pourrez utiliser le bas de votre frigo.
Lorsque vous arrivez de vos courses, vous défaites juste un peu, l'opercule de la boite de fromage Féta sur un coin, juste sous le couvercle en plastique et vous refermez celui-ci. Vous placez le fromage dans le bas de votre frigo ou dans votre cave (moi, sur un des 5 rayons de mon frigo, sur les boites de céréales et autre riz et graines) et vous l'y oubliez pendant au moins 1 mois.
Je viens d'ouvrir celui ci et je l'avais "oublié" le 22 juin soit, à peine un peu plus d'un mois et ...je l'avais vraiment oublié!!.
Il y a un petit point de bonne moisissure mais aucun risque...ça arrive quelquefois...je l'ai tout de même enlevé et donné aux poules.
Pour 1.60€ j'ai une fromage de brebis impeccable à déguster avec une jolie tranche de pain au levain naturel aux raisins!
Non, même pour la photo, je ne remets pas de fromage affiné sur ce pain car je n'ai plus faim! Mais croyez moi, l'association sucré/brebis est parfaite!
Cette glace à la vanille est une merveille et je vous la propose pour un dessert ou bien un goûter improvisé. Il vous suffira de la sortir 10 mn avant du congélateur (si l'homme ou les gamins vous en ont laissée ainsi que les petits gâteaux!).
Pour une préparation avec une gousse de vanille voir le lien
Pour environ 790 g de glace
3 jaunes d'oeuf (bio)
1/2 càc de vanille en poudre
5 g de maïzéna
45 g de sucre vanillé (maison)
400 g de lait entier (bio)
35 g de lait en poudre entier
25 g de sucre vanillé +
50 g de sucre en poudre
10 g de miel
150 g de crème liquide
• Blanchir les jaunes avec la vanille, la maïzéna et les 45 g de sucre vanillé.
• Mélanger le lait et le lait en poudre
• Chauffer le lait et y ajouter le sucre restant et le miel.
• Incorporer ensuite les oeufs blanchis et fouetter.
• Chauffer cette préparation comme une crème anglaise, jusqu'à 85° (nappage de la cuillère).
• Ajouter la crème et fouetter pour bien mélanger.
• Laisser reposer toute la nuit au frigo.
• Le lendemain, fouetter à nouveau la préparation.
• Mettre en sorbetière pour environ 30 mn (Quigg position 1 pour moi)
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Mes écrits,tranches de vie, cuisine,critique gastro,pâtisserie,peinture, musique, "coups de gueule"...avec humour souvent, cynisme aussi,mais surtout authenticité....résultats d'un vécu riche en expériences et, en fond alléchant, mes RECETTES de CUISINE
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